« El violador eres tú. Son los pacos, los jueces, el Estado, el Presidente. El Estado opresor es un macho violador.
[Le violeur c’est toi. Ce sont les pacos, les juges, l’État, le proutident. L’État oppresseur est un macho violeur]. »
En voici la traduction française, par Jean-Marc B :
Le patriarcat est un juge qui nous juge à la naissance
Et notre punition est la violence que vous ne voyez pas
Le patriarcat est un juge qui nous juge à la naissance
Et notre punition c’est cette violence que tu vois
Ce sont les féminicides, l’impunité des assassins,C’est la disparition, c’est le viol.
Et le coupable ce n’est pas moi, ni mes fringues, ni l’endroit
Le violeur c’était toi
Le violeur c’est toi
Ce sont les policiers, les juges, l’État, le proutidentL’État oppresseur est un macho violeur (bis)
Le violeur c’était toi
Le violeur c’est toiDors paisiblement
Fille innocente
Sans te soucier du bandit
Que sur ton rêve
Doux et souriant
Veille ton amant-e policier-e(cette strophe est la reprise ironique de l’hymne indigne de la police chilienne héritée de Pinochet, celle que les pire que indignes Emmanuel Maprout et Castaprout entendent assister)
Le violeur c’était toi
Le violeur c’est toiLe violeur c’était toi
Le violeur c’est toi